La série de jeux de hack and slash Diablo a toujours été dotée d’une ambiance particulière, collant avec angoisse à la réalité. Cependant les graphismes de Diablo 3, le nouvel opus, semblent plus copier sur le côté bisounours de World of Warcraft : des textures lisses et un rendu cartoon raté ?
Les jeux vidéos ne jouent-ils pas le rôle d’un anti-dépresseur ? L’addiction et le tissage de liens sociaux sont d’autres facettes du jeu vidéo ; mais à mon avis la principale qualité du jeu est son côté rassurant, la distraction qu’il apporte.
Dans quelques centaines d’années, le jeu vidéo et le sport physique ont de fortes chances d’être réunis en une seule et même entité : courir, lancer des objets, se battre à l’épée, se mettre dans la peau d’un sniper, jouer tout simplement au criquet, tout cela sera possible dans un monde virtuel dans lequel nous nous immiscerons par le geste et la pensée.
Présentation des jeux PC Prince of Persia, Street Fighter IV, King’s Bounty : The Legend, Cities XL, Tomb Raider Underworld, Silverfall
Pour le jeu de hack and slash Death Spank, j’ai un doute affreux quant à la rapidité de l’action : les monstres m’ont l’air de prime abord trop espacés pour réellement donner une impression d’oppression et de difficulté. L’espace en fausse 3D, magnifique cela dit, a l’air vaste, peut-être trop vaste entre deux paquets de mobs à occire.
Aujourd’hui, les jeux vidéos ont changé de forme. Ils offrent moins de difficulté, mais en échange ils procurent une interaction et une immersion accrues. Cela permet une évasion de l’individu hors du quotidien.
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