Petite liste de romans de science-fiction des années 1950, que je n’ai pas encore lus mais qu’il va falloir se procurer absolument :
( => ici ma définition de la science-fiction)
– Planète à gogos (1952) de Frédéric Pohl et C. M. Kornbluth : un roman qui s’est fait connaître par sa faculté de décrire la société humaine du futur, notamment ses relations avec le capitalisme dégénérant et la publicité.
– Alfred Bester : L’homme démoli (1952) : un homme cherche à échapper aux télépathes pour effectuer le crime parfait, Terminus les étoiles (1956) : un space opéra comme on n’en fait plus, Les clowns de l’Eden (1974).
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– Philip K. Dick, Le père truqué (1954) mais aussi tous ses chefs-d’oeuvres ( => voir mon article sur Dick). Concernant le père truqué, voici ce qu’en dit novaproduction.fr :
Quand Philip K. Dick avait trois ans, en 1931, son père Edgar lui a montré un masque à gaz en lui racontant ses souvenirs de la Première Guerre mondiale. Philip a hurlé de terreur, persuadé qu’un monstre horrible, un insecte géant, avait mangé mon père et pris sa place. Pendant des semaines après cet incident, il a continué à scruter le visage de son père pour y déceler d’autres signes de la substitution, pour y chercher l’humanité. En 1953, il en a tiré une nouvelle, Le Père truqué, créée à partir de ce sentiment d’un père double, dont le corps serait parfois habité par un extraterrestre sans âme.
– Petit rappel sur un livre de cette époque à découvrir pour ceux qui ne le connaissent pas : Le monde du A (1945), Les joueurs du A (1956) d’Alfred Van Vogt – On adore ou on déteste Van Vogt mais cet auteur ne laisse jamais indifférent (pour ma part je rentre dans la première catégorie de personnes). Attention ! ce cyle (complété d’un troisième et dernier tome La fin du A en 1984), un peu confus, peut dérouter de par ses idées brouillonnes relatives à un super-homme dénué des contraintes de notre vision faussée de la réalité.
Nota Bene : cette liste non exhaustive sera certainement complétée au fil du temps.