Le but de notre vie
Quand vous avez « la tête dans le guidon », lorsque vous croquez la vie et que vous vous sentez emporté par le flot quotidien de la routine, il est bon parfois de prendre un peu de recul et de se poser les bonnes questions. Et les bonnes questions c’est quoi ?
- – qu’est-ce qui me pousse à continuer ?
- – qu’est-ce qui aura valu le coup, vraiment, lorsque je serai arrivé au crépuscule de mon existence ?
- – si demain je mourrais, est-ce que je serais satisfait de ma vie présente ?
Au final, il n’y a que ces questions qui sont importantes. Et le but de notre existence, c’est peut-être (je n’ai pas la science infuse en ce domaine mais un blog est fait pour s’exprimer), c’est peut-être de se rapprocher le plus possible de ces valeurs.
Comment se rapprocher du bonheur ?
Tentons un peu d’y répondre maintenant :
Comment faire pour se rapprocher le plus possible de notre bonheur ? Il est difficile de se fixer un but à atteindre sur le long terme, un but qui serait la panacée suprême, parce que :
- 1/ ce n’est pas sûr qu’on y parvienne
- 2/ plus ce but est loin, moins vite on l’atteint et moins vite on est heureux
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Qu’est-ce que cela veut dire ?
- – éviter de se forcer à faire quelque chose
- – s’arranger pour exercer le métier qui nous plaît
- – ne pas hésiter à s’interrompre lorsque l’envie n’est pas là
- – choisir une activité, sur le moment, qui corresponde à notre envie
Ces quelques conseils paraissent peut-être évidents mais ils ne sont pas si simples que ça à mettre en pratique, principalement parce que les gens ne sont pas toujours à l’écoute de leurs envies. Ce sont des réflexes à acquérir : savoir écouter son propre corps, savoir analyser nos propres comportements de manière à pouvoir agir en conséquence. Parfois on se sent mal à l’aise sans vraiment savoir ce qui cloche. Dans ces moments-là, demandez-vous tout simplement si vous vous éclatez dans ce que vous faîtes. Demandez-vous tout simplement à quoi vous rêviez étant petits. Demandez-vous simplement si votre organisme n’a pas envie d’un peu d’air frais, de sortir ou de faire une autre activité, de parler avec d’autres gens ou de fonder une famille.
Tant d’activités existent et tant d’opportunités sont à saisir. A nous de faire les bons choix.
Sûr qu’il faut avoir le caractère pour être entrepreneur, certains préfèrent rester salariés. Pour rester dans le raisonnable, je pense qu’il faut choisir le moment où les risques sont minimisés – Comment tu le dis, attendre le bon moment et concilier maîtrise de son destin avec l’opportunité qui se présente. Certains parlent de chance. D’autres forcent la chance en travaillant très dur.
Bonne analyse sur le thème : suivre ses envies. Il y a sans doute beaucoup de gens qui aimeraient suivre leurs envies mais quelques fois il faut avoir les moyens de le faire (plan financier et professionnel) surtout lorsqu’il y a une famille derrière. Il faut attendre le bon moment, l’opportunité et se lancer tout en gardant une maîtrise sur les changements qui en découlent.
La vie est une source de plaisir, mais seulement pour ceux qui savent la vivre….
Puisque tu parles de ‘mort’ alors que ta vie est en plein essor, je résumerai ainsi mon propos :
Réussir sa vie, voilà la première façon de ne pas manquer sa mort…