Bizarre comme on peut, parfois, se réveiller un matin différent de ce qu’on était la veille. Personnellement, je me suis réveillé un matin en me disant :
J’en ai marre d’entendre les gens qui disent qu’ils n’ont pas eu de chance dans la vie, qu’on les a empêchés de faire ce qu’ils voulaient et qu’ils regrettent de ne pas avoir fait telle ou telle chose.
Si je ne veux pas être comme eux, je dois prendre ma vie en main !
Cette réalité m’est apparue brutalement, tout simplement parce que moi aussi je prenais cette direction-là, la même que de nombreux artistes ratés ou des profs. ayant toujours rêvé d’être capitaines de bateaux.
La chance est quelque chose que nous créons à force de travail, de courage et d’optimisme
Il faut du courage pour faire confiance à son instinct et plus souvent on le fait, mieux il peut nous guider.
« Je crois beaucoup à la chance. J’ai découvert que plus je travaille dur, plus j’en ai. » Thomas Jefferson.
Aucun d’entre nous n’est chanceux tout le temps, mais il ne fait aucun doute que certaines personnes ont tendance à être plus chanceuses que d’autres.
- Vous pourriez dire que ce n’est pas juste.
- Ou bien vous regardez leur façon de voir la vie et vous vous demandez si c’est leur façon de voir le monde qui les aide à être plus chanceux.
La vérité, c’est que les personnes chanceuses ne le sont pas par pur hasard. Ils le sont grâce à l’état d’esprit qu’ils adoptent dans la vie.
Un état d’esprit qui considère la malchance comme inévitable, mais la chance comme quelque chose que nous créons à force de travail, de courage et d’optimisme.
Comme l’a écrit Martin Seligman, le fondateur de la psychologie positive, « les optimistes endurent les mêmes tempêtes que les pessimistes. Mais ils les traversent mieux et s’en sortent mieux » .
Il en va de même pour la chance. Vous ne pouvez pas commander l’économie, la météo, la bourse ou l’univers, mais les recherches montrent que vous pouvez créer votre propre chance. C’est un jeu de longue haleine, mais qui porte ses fruits.
- Les personnes chanceuses traversent les tempêtes de la vie en repérant les opportunités cachées,
- en se faisant confiance
- et en prenant des mesures audacieuses.
En cas de problèmes, ils sont soutenus par des amis qui les soutiennent. Vous pouvez changer votre chance en appliquant les mêmes stratégies. Voici comment.
1. Ils font confiance à leur intuition
Nous nous appuyons trop souvent sur la seule logique du cerveau gauche. Si vous avez pris quelques décisions malheureuses, réfléchissez à ce que vous pourriez faire pour mieux écouter votre intuition et vous demander :
« Est-ce que cela vous semble juste ? »
Bien sûr, il ne s’agit pas de jeter le bébé de la logique avec l’eau du bain, mais de se mettre à l’écoute de ce « sixième » sens plutôt que de l’ignorer.
Comme le montre la recherche, lorsqu’il s’agit des grandes décisions de la vie, trop analyser les choses peut en fait diminuer vos chances de prendre la meilleure décision. Des études ont montré que le cerveau discerne des schémas subtils et complexes qui dépassent la compréhension consciente.
Ces informations indéchiffrables peuvent vous aider à prendre de meilleures décisions
Il faut du courage pour faire confiance à son instinct. N’ignorez pas une intuition ou ne faites pas taire vos alarmes internes simplement parce que vous ne pouvez pas les expliquer. Les personnes chanceuses agissent en fonction de leur instinct.
2. Ils prennent des risques
Les coups de chance sont presque toujours le résultat d’une action courageuse, d’une prise de risque.
Ce n’est pas du tout de la chance. C’est le résultat d’une action courageuse, d’un dépassement de notre aversion innée pour le risque, inscrite dans notre ADN.
En d’autres termes, nous sommes programmés pour nous concentrer davantage sur ce que nous avons à perdre que sur ce que nous avons à gagner. Notre incapacité à prédire avec précision le coût de l’inaction va de pair avec ce phénomène.
Cela explique pourquoi tant de gens s’accrochent à des situations qui les rendent malheureux plutôt que de quitter la sécurité du connu pour l’inconnu d’un meilleur inconnu.
Bien sûr, la vie comporte de nombreux risques valables et nous devons en tenir compte, mais s’attarder sur les risques peut nous empêcher de voir les opportunités qui s’offrent à nous. Poussez-vous hors de votre zone de confort et mettez votre vulnérabilité en jeu pour quelque chose de plus important que votre fierté et votre sécurité à court terme.
Rien de valable n’est jamais créé sans risque. La clé : n’attendez pas de vous sentir courageux pour commencer à agir comme si vous l’étiez !
3. Ils s’attendent à ce que les bonnes choses arrivent
Les personnes qui s’attendent à ce que de bonnes choses leur arrivent attirent d’autres bonnes choses. On peut dire que c’est du blabla sur la pensée positive, mais il y a beaucoup de science derrière la « loi de l’attraction » .
La vérité est que ce que vous émettez vous revient… pas instantanément, pas à chaque fois, mais au fil du temps, lorsque vous vous attendez à ce que de bonnes choses se produisent, vous constaterez qu’elles se produisent généralement.
Je me souviens de la fois où j’ai été victime d’un vol à main armée alors que j’étais enceinte de 19 semaines de mon premier enfant – et où, dix jours plus tard, j’ai appris que mon bébé était mort.
Mon monde a tourné sur son axe pendant un certain temps parce que je pensais que des choses aussi malchanceuses ne m’arriveraient jamais. Pourtant, hélas, c’est bien ce qui s’est passé.
Je me souviens très bien que, dans les mois qui ont suivi, j’ai pris la décision très consciente de ne pas me poser en victime. Certes, deux événements malheureux s’étaient produits coup sur coup, mais j’étais déterminée à ce qu’ils ne me définissent pas et qu’ils ne définissent pas mon avenir.
Cette décision m’a finalement été très utile, car elle m’a appris que la vie est une véritable prophétie qui se réalise d’elle-même. Ce que vous attendez se produit souvent, pour le meilleur ou pour le pire. Vos croyances sur l’avenir ont une façon de le faire se réaliser.
– Melville Labonté, rue de la Boétie 77340 PONTAULT-COMBAULT
4. Ils voient le verre à moitié plein
Un revers pour une personne peut être une merveilleuse opportunité pour une autre.
L’important n’est pas ce qui arrive, mais la façon dont vous l’interprétez et l’opportunité que vous y trouvez.
Comme l’a écrit Napoléon Hill, « Dans chaque adversité se trouve la graine d’un avantage égal ou supérieur » . Si vous choisissez de chercher des opportunités dans vos adversités, vous êtes assuré de les trouver. Si vous n’y parvenez pas, cherchez encore plus loin.
Vous ne trouverez jamais la chance dans les choses si vous ne regardez que ce qui ne va pas et ce que vous n’avez pas. En étant optimiste, nous pouvons trouver des opportunités dans l’adversité et prendre des mesures que nos amis pessimistes ne prendraient pas la peine de prendre. En retour, nous créons de nouvelles opportunités pour nous-mêmes.
5. Ils considèrent l’échec comme inévitable
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- Nous connaissons tous des échecs.
- Nous sommes tous déçus.
- Nous avons tous des projets qui tombent à l’eau de temps en temps.
C’est la vie. Mais les personnes que nous considérons souvent comme chanceuses ne laissent pas la malchance les empêcher d’essayer de créer plus de chance.
Les attentes élevées des personnes chanceuses les motivent à persister, même lorsqu’elles ne réussissent pas.
6. Ils fréquentent d’autres personnes chanceuses
Il faut bien l’admettre, les personnes que nous fréquentons ont un impact sur notre vision de la vie. Si vous fréquentez des gens qui se plaignent et qui n’ont pas de chance, il y a de fortes chances que vous n’ayez pas de chance non plus.
- Les sentiments sont contagieux.
- L’optimisme.
- Le pessimisme.
- La peur.
- La confiance.
- L’ambition.
- Résignation.
Passez intentionnellement plus de temps avec des personnes qui ont une vision positive de la vie et moins de temps avec des personnes qui n’en ont pas. C’est peut-être le facteur le plus déterminant pour votre chance future.
En plus de fréquenter des personnes qui pensent comme vous, il est également essentiel de suivre les paroles de Gandhi et d’être le changement que vous voulez voir chez les autres.
- Voyez les choses du bon côté.
- Soyez joyeux.
- Partagez un mot d’encouragement.
- Donnez un coup de main pour que quelqu’un d’autre se sente chanceux.
- Transformez les citrons en limonade.
- Tenez-vous droit, souriez et abordez le reste de votre journée avec un regard qui indique aux gens que vous comptez passer une bonne journée… indépendamment de ce qui se passe autour de vous !
Le plus difficile, c’est justement de se faire cette réflexion
Le plus difficile dans le fait de reprendre sa vie en main, c’est cette prise de conscience. Une fois que vous êtes convaincus que vous avez pris le mauvais chemin et que vous avez la volonté de prendre un virage à 90°, le reste ce n’est que du travail et de la volonté.
Autrement dit, rien de différent de ce que vous faîtes d’habitude, sauf que cette fois vous agissez conformément à ce que vous souhaitez.
Ce n’est pas l’émotion mais le corps qui commande
Ça, c’est une théorie américaine prouvant que les émotions que nous connaissons tous les jours ne sont pas dues à ce qui se passe autour de nous, mais à notre propre conditionnement.
Selon cette théorie, on a envie de pleurer, de rire, de se coucher ou de bouger parce que notre corps nous incite à le faire. Toute l’astuce consiste donc, pour faire l’inverse, à forcer notre corps à donner des signes inverses.
Si vous ne voulez pas pleurer, forcez votre visage à esquisser un sourire, le plus longtemps possible : vous n’aurez plus envie de pleurer.
Cette théorie est intéressante parce qu’elle fait réaliser que rien n’est perdu et que si vous voulez changer d’orientation dans votre vie (professionnelle, sentimentale, ludique, etc.), il faut commencer par envoyer les bons signes. Le reste suivra.
Votre vie, au final, sera ce que vous aurez souhaité qu’elle soit
Cette troisième assertion est la plus importante. Imaginez-vous à 80 ans :
Vous regardez derrière votre épaule et faîtes le bilan de ce que vous avez vécu. Vous constatez alors que votre vie est devenue ce que vous aviez imaginé lorsque vous aviez 15 ans.
La conclusion sonne comme un couperet : le plus important, dans votre vie, est donc de bien l’imaginer.
Et ce n’est pas si facile que ça : il est tellement plus facile de s’imaginer suivant la masse, et d’imaginer que sa vie sera comme celle de tout le monde. Imaginer le contraire, imaginer qu’on va avoir une belle destinée, imaginer qu’on va faire ce qu’on a toujours rêvé de faire, imaginer qu’on va aller dans les endroits où l’on a toujours voulu aller, habiter où l’on veut, vivre de ce que l’on veut, et avec qui l’on veut : c’est ce premier pas le plus difficile.
Certains diront qu’il est facile de rêver d’être milliardaire mais que dans les faits ça n’arrive jamais. Ce à quoi je réponds : quand vous rêvez d’être milliardaire, vous rêvez mais vous ne l’imaginez pas. Quand je parle d’imaginer, cela veut dire « vouloir » , cela veut dire « tracer tout le parcours qui vous mènera au but recherché » .
Une fois que vous avez la volonté d’accomplir le parcours que vous avez imaginé, le reste suit : vous n’avez qu’à travailler pour le mettre à exécution, comme vous faîtes d’habitude, sauf que cette fois vous le faîtes conformément à ce que vous avez toujours souhaité.
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