Innorobo, le salon international professionnel de la robotique de LYON, vient de se terminer le 20 mars 2014, et nous donne une bouffée d’espoir en ce qui concerne l’avenir proche de la robotique.
Ils arrivent : toujours plus humanoïdes et fonctionnels. D’après les entreprises françaises qui se classent 5ème producteur de robots dans le monde, ils vont débarquer avant 2015 et tout révolutionner.
Dans un premier temps, certains emplois risquent de disparaître parce que les robots pourront servir de main d’oeuvre, mais dans un deuxième temps ils vont créer beaucoup plus d’emplois dans les pays qui auront acquis la technologie : des emplois pour réparer les robots, pour les créer, pour les imaginer, pour les modifier. En ce sens, pour un pays comme la France, investir aujourd’hui dans les robots pourrait bien représenter une piste pour sortir de la crise.
L’entreprise Aldebaran, à l’origine du fameux humanoïde Nao, affirme qu’il faut rendre ces êtres de métal de plus en plus aimables et réceptibles à nos émotions, de manière à nous les faire aimer. Les robots représenteront bientôt une présence quotidienne ; ils nous suivront partout un peu comme un animal domestique.
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Certaines personnes ont peur des robots et du changement certain qu’ils vont opérer dans nos habitudes. D’autres, plus geeks, sont impatients de vivre toutes les nouvelles possibilités qu’ils vont apporter. Dans tous les cas, le train, c’est maintenant que les autorités doivent le prendre sans quoi, comme internet, elles passeront à côté d’un nouveau savoir et de nouvelles technologies.
Les pionniers de la robotique risquent d’être les nouveaux Bill Gates de demain.
Si le sujet vous intéresse, je vous renvoie à cet article que j’avais rédigé sur Alan Turing, un mathématicien qui avait « pensé » les robots.
