Travailler sur internet : le revers de la médaille

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Écrit par Mallory Lebel

Se sentir libre de concilier "vie privée" et "vie numérique" sans intrusion.

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J’aime bien cet article d’un travailleur du web américain, parce que le mec décrit pourquoi il a quitté son métier (bien payé) en 2005, pour le simple motif qu’il n’aimait pas ce qu’il faisait. Il explique aussi que depuis qu’il est son propre patron, il a réussi, et pourtant malgré toute cette foi dans l’American Dream (le rêve américain), l’auteur reste lucide.

Il divulgue en quelques lignes ce qu’il a appris durant 5 ans d’auto-entreprenariat, contredisant ceux qui adulent les autodidactes, et décrivant la véritable réalité :

1/ Le job est différent

Les employés « normaux » ayant eux-mêmes un patron n’ont pas à envier les auto-entrepreneurs, parce qu’ils bénéficient de choses que ces derniers n’ont pas.

Inversement, les auto-entrepreneurs n’ont pas à envier ceux qui existent déjà sur internet et qui ont déjà réussi à percer.

L’un comme l’autre, l’un et l’autre métier n’a rien à voir, c’est juste différent.

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© BC Gov Photos

2/ La liberté a aussi son revers de médaille

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Travailleur sur internet, oui vous êtes libres et vous adaptez vos horaires comme bon vous semble. Mais il est dur de savoir s’arrêter et de s’autoriser à prendre du repos. Quand rien ne vous oblige à prendre une pause, vous avez tendance à être plus exigent avec vous-même. La liberté peut aussi faire peur, et faire du mal.

3/ L’auteur enfonce le clou au sujet de la volonté

C’est clair qu’il vous faut un objectif et que sans une grosse dose de volonté et de soif d’apprendre, rien n’évoluera dans le bon sens. Je rajouterais un troisième point : ne pas avoir peur de se remettre en question, car la matière évolue sans cesse et il ne vous faudra pas rester avec vos bonnes vieilles idées d’il y a 5 ou 10 ans.

4/ Il y a toujours un boss au-dessus de vous

C’est clair que la pression se fait sentir différemment que lorsque vous avez un chef au-dessus de vous pour vous imposer des horaires, mais vous ne dirigez pas tout : Google, par exemple, vous rend dépendant de lui. Vos clients, aussi, auront toujours le dernier mot sur vous.

Conclusion

Au final, on imagine bien les contraintes de celui qui veut travailler sur internet : de nombreuses heures à passer à travailler sans avoir immédiatement le résultat de son labeur, des remises en question permanentes et de nouvelles stratégies à assimiler sans cesse. Mais la clé de cet ensemble semble être le plaisir, comme tous les métiers d’ailleurs : aimer ce que l’on fait et le faire avec plaisir.

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3 réflexions au sujet de “Travailler sur internet : le revers de la médaille”

  1. Dans le monde de l’informatique il y a aussi deux mondes parmis les développeurs : les employés de sociétés de services (SSII) et les freelance affiliés aux sociétés de services, le premier est soumis aux sociétés clientes de la SSII l’autre choisit ses clients en passant par différentes SSII qui le sous-traite.
    Un même travail et un travail différent à la fois.

    Répondre
    • Pas mal de débats en ce moment en France sur les auto-entrepreneurs qui, pour certains, veulent se lancer sur internet. La France n’aime pas trop ce genre de « freelance » comme tu dis, c’est plutôt mal vu, et pourtant c’est d’après moi :

      1/ une des clés capitales et sous-estimées pour combattre le chômage (l’avenir n’est plus d’après moi aux grosses usines à gaz mais bien aux micro-entreprises)

      2/ un des domaines dans lesquels la France devrait au contraire s’engouffrer

      Mais bon, comme d’hab. si vous habitez dans ce pays, une des meilleures solutions est d’adopter cette stratégie un peu radicale : boucher vos oreilles et faire comme vous l’entendez 😀

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