Personnellement, je suis conscient des nombreuses lacunes de la médecine conventionnelle et j’applaudis les différentes initiatives visant à l’améliorer. Prenez par exemple les 10 pires actions de la médecine conventionnelle américaine en 2019 (les Shkreli Awards).
Liste des dix pires acteurs dans le domaine de la santé de l’année 2019
- Le cancérologue qui a caché des millions, puis obtenu un « job de rêve » dans une entreprise pharmaceutique spécialisée dans le traitement du cancer.
- L’hôpital qui a maintenu un patient végétatif sous assistance respiratoire pour augmenter le taux de survie de ses greffes.
- Les médecins, les employés des sociétés de télémédecine et les laboratoires de tests génétiques qui ont escroqué l’assurance maladie de 2,1 milliards de dollars dans le cadre d’une escroquerie aux tests génétiques de dépistage du cancer.
- Les hôpitaux psychiatriques qui retenaient les patients contre leur volonté et droguaient les enfants.
- L’hôpital qui a fait pression sur les cardiologues pour qu’ils continuent à envoyer des patients pédiatriques en chirurgie interne malgré des taux de mortalité inquiétants.
- L’exécutif pharmaceutique qui a déclaré que « les toxicomanes sont à blâmer pour leur dépendance aux opiacés ».
- La société d’investissement qui a repris en main les maisons de retraite, ce qui a entraîné une augmentation du nombre de résidents négligés et maltraités.
- L’hôpital qui a utilisé une technique pour imposer une facture médicale de 900 000 $ à une jeune maman, qui était également une employée de l’hôpital.
- Les sociétés d’investissement qui ont dépensé 28 millions de dollars pour faire échouer la législation sur la « facturation surprise », alors que la dette médicale monte en flèche.
- Plusieurs hôpitaux qui prétendent s’occuper des patients mais qui les poursuivent en justice, saisissent leur salaires et leur maison.
Trop souvent, les défauts de la médecine moderne semblent aussi évidents qu’inexcusables. Il est donc compréhensible que certains patients déçus demandent l’aide et la compassion des homéopathes. Vu sous cet angle, la popularité actuelle de l’homéopathie indique que de nombreux patients ne sont pas satisfaits de ce que leur offre la médecine conventionnelle. En d’autres termes, l’essor actuel de l’homéopathie peut être considéré comme une critique poignante de certains aspects des soins de santé modernes.
Pourquoi ne consacre-t-on pas plus d’écoute aux échecs de la médecine conventionnelle ?
Le vieillissement reste un mystère pour la médecine moderne
La démence est un terme général qui couvre les maladies où le cerveau perd ses fonctions. Outre les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, il existe de nombreuses autres maladies, dont certaines ne sont pas encore classées. Si les chercheurs s’améliorent dans la prévention, le traitement ou le soulagement de maladies telles que le cancer, le diabète de type 2 et les maladies cardiaques, ils en savent encore très peu sur les maladies qui affectent les fonctions du cerveau.
Il y a une raison simple pour laquelle la recherche sur la démence et le développement de thérapies est difficile : C’est qu’on ne peut pas se contenter de prélever un échantillon du cerveau d’un patient et de faire des tests, comme on peut le faire pour un autre organe. Nous pouvons scanner le cerveau, mais cela ne nous montre que sa structure. Pour développer des thérapies contre la démence, nous devons savoir comment les cellules du cerveau se comportent, ce qui nécessite du tissu cérébral frais pour travailler, et c’est très difficile à obtenir sur un cerveau humain.
Les chercheurs en savent très peu sur ce qui se passe dans nos cellules lorsque nous vieillissons. À l’avenir, l’une des tâches les plus importantes des sciences de la santé sera de percer les secrets du comment et du pourquoi du vieillissement du corps.
Nous savons que les extrémités des chromosomes, appelées télomères, se raccourcissent avec l’âge. Nous savons également que les processus biologiques dans certaines cellules s’affaiblissent un peu, mais nous ne savons pas précisément ce qui se passe et pourquoi.
Le principal inconvénient de la médecine moderne est le coût et la disponibilité
Le processus d’approbation des médicaments, y compris la décision de savoir si un médicament doit être disponible sans ordonnance, est une tâche ardue. Contrairement à la croyance populaire concernant les sociétés pharmaceutiques, 90 à 95 % des demandes de nouveaux médicaments sont rejetées. Le processus d’approbation est tellement long et coûteux que seules les grandes entreprises peuvent se le permettre.
Des groupes de patients se plaignent des retards dans la mise à disposition de médicaments potentiellement vitaux, tandis que dans le même temps, des avocats encouragent les litiges en raison de réactions indésirables non découvertes lors des essais (et, malheureusement, parfois ce n’est pas vraiment la faute du médicament).
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En comparaison, de nombreux traitements « naturels » et complémentaires ont des preuves minimales d’efficacité et de sécurité. L’hypothèse selon laquelle les traitements « naturels » sont plus sûrs ou, de quelque manière que ce soit, intrinsèquement préférables aux médicaments sur ordonnance ou « chimiques » est totalement dénuée de fondement. Tout ce qui modifie suffisamment le fonctionnement du corps pour traiter une maladie peut avoir des effets indésirables et les molécules sont des molécules, qu’elles proviennent d’une feuille ou d’une éprouvette.
Pourquoi la prévention et le traitement des maladies sont-ils séparés par la médecine moderne ?
Dans le cadre de la lutte contre le cancer, par exemple, la prévention et le traitement sont totalement différenciés. On peut se demander pourquoi.
Les médecins pensent généralement que le cancer est le problème qu’il faut éradiquer, mais ils envisagent rarement la possibilité que le cancer soit un processus cancéreux. Le médecin moyen n’envisage pas la possibilité qu’après le cancer, il y ait un processus cancéreux. Derrière la coagulation sanguine, un processus qui conduit à la coagulation.
Derrière chaque cancer se trouve un processus cancéreux. L’élimination des cellules cancéreuses ne fait que déplacer le processus. L’élimination du caillot ne supprime pas la tendance à la formation de caillots, d’où le faible taux de guérison du cancer. Pour prévenir la maladie, il est nécessaire de modifier le mode de vie, notamment en réduisant le poids, en faisant de l’exercice, en adaptant le régime alimentaire et en gérant le stress.
Les compléments alimentaires peuvent faire partie d’un programme visant à améliorer l’efficacité biologique. Tous les changements améliorant la santé globale renforcent également le corps, ce qui préviendra les maladies. Des rémissions spontanées face à de nombreuses maladies graves ont été documentées.
Soutenir et compléter la capacité de guérison du système : voilà le point faible de la médecine moderne. Dans cette approche, on ne traite pas la maladie, mais on améliore la santé. Plus la santé est bonne, moins la maladie est mauvaise.
Comment réduire votre risque de contracter un cancer ?
Les scientifiques de la Harvard School of Public Health estiment que jusqu’à 75 % des décès par cancer aux États-Unis peuvent être évités.
9 conseils pour prévenir le cancer
- Mangez correctement. Réduisez votre consommation de graisses saturées et de viande rouge, qui peut augmenter le risque de cancer du colon et d’une forme plus agressive de cancer de la prostate. Augmentez votre consommation de fruits, de légumes et de céréales complètes.
- Faites de l’exercice régulièrement. L’activité physique a été associée à une réduction du risque de cancer du côlon. L’exercice physique semble également réduire le risque de cancer du sein et éventuellement le cancer de l’appareil reproducteur chez la femme. L’exercice physique vous protégera même si vous ne perdez pas de poids.
- Restez mince. L’obésité augmente le risque de nombreuses formes de cancer. Les calories comptent ; si vous avez besoin de maigrir, prenez moins de calories et brûlez-les avec l’exercice.
- Si vous choisissez de boire, limitez-vous à une consommation moyenne d’un verre par jour. L’excès d’alcool augmente les risques de cancer de la bouche, du larynx, de l’œsophage, du foie et du côlon. Il augmente également les risques de cancer du sein chez la femme. Le tabagisme augmente encore le risque de nombreuses malignités induites par l’alcool.
- Eviter toute exposition inutile aux radiations. Ne faites des examens d’imagerie médicale que lorsque vous en avez besoin. Vérifiez la présence de radon dans votre maison, ce qui augmente le risque de cancer du poumon. Protégez-vous contre les rayons ultraviolets du soleil, qui augmentent le risque de mélanomes et d’autres cancers de la peau. Ne vous inquiétez pas des rayonnements électromagnétiques des lignes électriques à haute tension ou des radiofréquences des micro-ondes et des téléphones portables. Ils ne provoquent pas de cancer.
- Évitez l’exposition aux toxines industrielles et environnementales telles que les fibres d’amiante, le benzène, les amines aromatiques et les biphényles polychlorés (PCB).
- Éviter les infections qui contribuent au cancer, notamment les virus de l’hépatite, le VIH et le papillomavirus humain. Beaucoup sont transmises par voie sexuelle ou par des aiguilles contaminées.
- Faire de la qualité de votre sommeil une priorité. Il est vrai que les preuves établissant un lien entre le sommeil et le cancer ne sont pas solides. Mais un sommeil de mauvaise qualité et insuffisant est associé à une prise de poids, qui est un facteur de risque de cancer.
- Consommez suffisamment de vitamine D. De nombreux experts recommandent aujourd’hui de consommer 800 à 1 000 UI par jour, un objectif presque impossible à atteindre sans prendre un supplément. Bien que la protection soit loin d’être prouvée, les preuves suggèrent que la vitamine D peut aider à réduire le risque de cancer de la prostate, du colon et d’autres malignités. Mais ne comptez pas sur d’autres suppléments.
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