
2 remèdes à votre mal de vivre
Pas la peine d’espérer avoir les idées claires si votre physique ne suit pas. C’est biologique : les endorphines, hormones du bien-être, ne s’activent que si vous puisez dans vos réserves.
Débat d’idées
Pas la peine d’espérer avoir les idées claires si votre physique ne suit pas. C’est biologique : les endorphines, hormones du bien-être, ne s’activent que si vous puisez dans vos réserves.
Le but de cet article est avant tout de faire réfléchir sur l’interrogation suivante : laquelle de ces deux notions, la liberté et la justice, est la plus chère au coeur des hommes ? Pas si facile d’y répondre en fait.
Outre les sempiternelles questions : « pourquoi désirez-vous rentrer dans notre entreprise ? », « que savez-vous de notre société ? » ou « quels sont vos objectifs dans la vie ? », d’autres questions plus sournoises sont amenées à vous rendre mal à l’aise lors de vos entretiens d’embauche.
Levons un peu la tête vers le ciel, regardons les nuages rappelons-nous un peu de ce que nous disait notre bon vieux Henri Salvador. Rappelons-nous son rire, sa nonchalance, sa façon de nous dire « c’est pas grave », « il fera jour demain », « prenez le bon côté de la vie ».
L’ebook attire certaines craintes : finis les conseils du libraire ou de l’éditeur, finie la beauté du livre « papier », vive la tyrannie entraînée par une édition exclusivement numérique !
Quels sont les instincts que suivrait un être humain libéré de toute contrainte ? L’homme, la femme, sont-ils mauvais par nature ou feraient-ils le bien autour d’eux ? Est-ce dans leur nature de se réunir et de vivre en société, ou l’homme est-il vraiment un loup pour l’homme ?
Je me vois bien vivre de ma plume en écrivant à domicile. Mais je regrette aussi que de nombreux métiers, représentant autant de passions, soient mis de côté et dévalorisés par notre société marchande alors qu’ils permettraient à beaucoup de personnes d’être heureuses. Je pense à des métiers simples comme par exemple agriculteur, fermier, forgeron, artisan, celui d’écrivain, de poète, des métiers qui permettaient aux gens de se nourrir grâce à ce qu’ils produisaient de leurs mains.