Le travail sur internet et le fordisme

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Écrit par Mallory Lebel

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Je n’ai jamais été un adepte du fordisme, et pourtant je me rends à l’évidence : moi-même, qui prône l’originalité et la volonté, j’admets que l’automatisation des tâches est presque un no-brain quand on veut percer et monter son entreprise.

Par fordisme, j’entends « automatisation des tâches », c’est-à-dire cette recherche d’actes répétitifs que l’on finit par exécuter presque sans réfléchir afin d’accroître notre rendement. Les termes sont importants :

  • fordismeautomatique
  • tâches
  • rendement
  • répétition

Ce ne sont pas des mots écrits au hasard et ils ont leur sens en matière de travail sur internet. Je vous l’apprends peut-être : j’ai décidé depuis peu de me lancer dans la professionnalisation de mon travail sur internet. Plus de bouée de sauvetage : vivre de son travail sur internet induit une recherche du rendement.

Au début j’ai tâtonné : le travail est tellement vaste qu’on ne sait pas trop par où commencer. Tant d’actes sont à faire :

  • la création de contenus (texte mais pas que)
  • la création d’images
  • le design / code du site (même si avec WordPress la chose est assez aisée)
  • la promotion
  • la SEO
  • les réseaux sociaux

Quelles sont les tâches les plus importantes ? Et comment s’y prendre pour faire tout ça sur plusieurs sites à la fois ? Nos journées ne font pas 48 heures… La seule solution, c’est la répétition, mais :

  • cela demande une certaine habitude,
  • cela exige que l’on sache précisément quoi faire sans chercher et donc perdre du temps,
  • enfin, cela exige de la persévérance et de la patience parce qu’une fois que vous savez ou que vous avez appris, il va falloir le faire sans discontinuer pour que les résultats arrivent.

J’ai oublié une autre nécessité : le test et la curiosité. Le plus dur, ce n’est pas de répéter les tâches qu’il faut faire, c’est de les apprendre et de savoir précisément lesquelles faire. Cela veut dire qu’au début, on tâtonne, on se trompe, ont fait des choses qu’il ne faut pas faire.

Le travail sur internet, la demande des internautes, les exigences de Google évoluant, il va aussi falloir être capable de modifier sa stratégie au fur et à mesure, sans quoi tôt ou tard on est dépassé et donc has-been et laissé pour compte.

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Mais cela n’empêche pas que le seul moyen d’obtenir des résultats, c’est du moins ce que je pense pour moi, c’est d’être capable, au final, de se faire clairement une stratégie et un planning que l’on s’astreint à répéter. D’où ma comparaison, certes exagérée, avec le fordisme :

Ford avait tout compris. Certes c’est démotivant pour l’employé qui effectue des tâches en boucle, en « déposant son cerveau ». Mais cette répétition des tâches en boucle permet une réduction des coûts, du temps, et donc un gain d’argent.

Le côté difficile du travail sur internet, c’est qu’il faut à la fois se caler sur une stratégie à laquelle on se tient, et à la fois il faut être capable de la faire évoluer en se remettant donc en question.

C’est son côté passionnant.

Voir aussi :

Article « Fordisme » sur Wikipédia

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2 réflexions au sujet de “Le travail sur internet et le fordisme”

  1. Le plus dur à mon avis est de savoir quelles tâches automatiser, voire programmer à l’avance, et celles qu’il faut quasi obligatoirement faire à la mano pour les personnaliser au maximum, non ?

    Répondre
    • Oui, mais j’allais pas vraiment jusque là. En fait, maintenant je n’automatise vraiment plus que la publication sur les réseaux sociaux. Je pensais davantage à la stratégie qu’il faut caler pour pouvoir ensuite la dérouler à la chaîne. C’est là que le temps est gagné. Quand on cherche quoi faire et qu’on tâtonne, on perd trop de temps. Par contre quand on sait précisément quels actes faire (à la mano comme tu dis), c’est déjà la moitié du temps (voire plus) de gagné.

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